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EXPOSITIONS PERSONNELLES
2024
L’Arctique fantômet L’AhAh # Moret Paris
Terres, avec Anne-Marie Filaire, L’Atelier Blanc, Villefranche de Rouergue
2022
La Valeur de l’Art, Studio Chatenet, Paris
2021
Le Tapis de Sigmund, L’art des dentellières d’Alençon #2, Musée des Beaux Arts et de la dentelle -Mobilier national, Alençon
2019
Histoire(s), des artistes chez
l’habitant, Fiac, Occitanie, commissaires Antoine Marchand et
Emmanuelle Hamon, Les Abattoirs
Rites & Tempos, commissariat avec Azad Asifovich, Atelier Blanc,
Villefranche-de-Rouergue et Moulin des Arts, Saint-Remy
2018
Le Printemps de septembre Festival
à Toulouse, Les Mariées de Fécamp, Musée
Calbet, Grisolles, commissaire Christian Bernard
L’art d’accommoder les restes dédié aux
petites fortunes avec Michèle Cirès-Brigand, La Belle
Absente, Paris
2017
Arctique Fantômes, Galerie
Mansart, Paris
Médusidélancolie, avec Sheila Concari, Galerie Dix9
- Hélène Lacharmoise, Paris
2016
Icare_I care, projet participatif,
Espace d’art La Terrasse, Nanterre
¿ Rétrospective, Galerie Nivet-Carzon, Paris
2015
Augustin’s project, collège
Jean Moulin, Toulouse
2014
L'Art dans les chapelles, Mélancolia,
Chapelle Le Goazé, Saint-Thuriau
Monument à Georges Perec_la Disparition, oeuvre participative,
galerie Dix9, Paris
Monument à Georges Perec, œuvre participative, L'Atelier
Blanc, Villefranche-de-Rouergue
2013
Le Tapis de Sigmund, invitation
à Égarements, Château d'Avignon, Les Saintes-Maries-de-la-mer
2012
L'Envers du récit, Photofolies
2012, L'Atelier Blanc, Villefranche-de-Rouergue
Radegonde-légende, Chapelle
Sainte-Radegonde, Chinon
Le Tapis de Sigmund, galerie Dix9,
Paris
Le rêve dans un tapis, Musée
départemental du Textile, Labastide Rouairoux
2011
Sigmund's rug_To sleep to dream
no more, Freud Museum, Londres.
Moi_lycéen 2011_en Aveyron, Résidence Écritures
de Lumière, Atelier Blanc et Théâtre, Villefranche-de-Rouergue.
2010
Time is out of joint, Centre culturel,
Villeneuve-la-Garenne
Le tapis de Sigmund, Bibliothèque
Sigmund Freud, Paris
Augustins Project, Musée des Augustins, Toulouse
2009
La Porte des Écritures
une re-lecture, Archives de l'Essonne, Château de Chamarande
2008
Nuit Blanche, projection vidéo,
Musée Zadkine, Paris
Rose, Moments artistiques Christian Aubert, Paris
Grand Hôtel et Des Palmes,
Galerie Dix9, Paris
2007
Vanité et autres vidéos,
Centre universitaire du Tarn-et-Garonne, Montauban
Le journal de Palerme, livre, Librairie Bookstorming, La Maison rouge,
Paris
Anne Deguelle R/R, Musée
Calbet, Grisolles
Olivier, auditorium de la Maison Rouge,
Paris
Un million et quarante quatrième anniversaire de l’art,
avec J. Gautel, Musée Zadkine, Paris
Olivier, Été photographique de Lectoure, centre de photographie
de Lectoure
2006
DeaR Rose, c’est la vie, Galerie
départementale Sainte-Catherine, Rodez
2005
Abbey Road, Centre d’art contemporain
Abbaye de Maubuisson
De l’Orientation, Saint-Clar, “Cheminements” Centre
de Photographie de Lectoure
2004
X/Beuys, Musée d’art moderne
Weserburg, Brême, Allemagne
Histoires-histoires, Printemps des Musées, Musée Zadkine,
Paris
2003
Résidence#2, Galerie Anne Barrault,
Paris
Nuit Blanche, square Boucicaut, Paris
2002
Beaucoup trop alambiqué, Villa
Vincelli, Fécamp
2001
Le dernier signe de Duchamp, avec Musée
Khombol et M. Jacquelin, Galerie Duchamp, Yvetot
Esta aqui, Galerie Ray Gun, Valencia, Espagne
Bains douches, Centre d’art contemporain - Galerie municipale,
Vitry-sur-Seine
2000
Paris vu de ma fenêtre, Galerie
Anne Barrault, Paris, Mois de la Photo à Paris
Artissima, Turin, Galerie Anne Barrault
Galerie Arnaud Lefebvre, Paris
1999
Duel, Galerie Anne Barrault, Paris
Éclipse, A.D. vous prie d’assister à, envoi postal
Position, Institut français, Breme, Allemagne
ARCO, Madrid, Galerie Ray Gun
Galerie Ray Gun, Valence, Espagne
1998
Mariages, Centre d’art Edouard
Manet, Gennevilliers
...)*,et des Peintures, École des Beaux-Arts de Reims
Centre d’art contemporain, Rueil-Malmaison
1997
Artothèque de Caen
Galerie Plessis, Nantes
Ce que je dis 2 fois est vrai, FRAC Auvergne, Clermont-Ferrand
1996
Diplopies, Mois de la Photo à
Paris, Galerie Isabelle Bongard
Galerie Ferran Cano, Palma de Majorque
Festival International de Photographie, Tarazona, Espagne
...Pour un réenchantement du monde, Galerie Isabelle Bongard,
Paris
1995
Centre d’art “grenier du
chapitre” Cahors
Galerie Ferran Cano, Barcelone
Centre d’art contemporain de Saint-Priest, Lyon
Galerie Yves Le Roux, Montréal. Bourse de séjour de
l’AFAA
Galerie Plessis, Nantes
Galerie Athisma, Lyon
FIAC, Galerie Plessis
1994
Récoltes, Centre arts plastiques
de Villefranche/S. et Serres horticoles de Dardilly
Galerie Albert Benamou, Paris
Far Niente, Galerie Isabelle Bongard, Paris
1993
D’une rive l’autre, Centre
Culturel,Valence
Galerie Yves Le Roux, Montréal
X/Beuys, Staten Galerie, La Haye
1992
Galerie Plessis, Nantes
Staten Galerie, La Haye
1991
Centre d'art contemporain, Castres
Histoire de galerie, Galerie Albert Benamou, Paris
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EXPOSITIONS COLLECTIVES
2024
Collections permanentes, Centre Pompidou, Paris, salle Beuys
2 Truths & 1 lie, avec Louisa Babari, galerie 18 montmorency, Paris
La Tangente, Atrium BU, Université Paul Valéry, Montpellier
La Tangente, les jeudi du MO.CO, auditorium, MO.CO Panacée, Montpellier
Histoires de Je (part 2), galerie Dix9 ParisMarathon, la course du messager, commissaires Jean-Marc Huitorel et Dominique Marchès, Musée de la Poste, Paris
2023
Art Paris, Grand Palais éphémère, Galerie Dix9
La Tangente, L’Atelier Blanc, Villefranche-de-Rouergue
Aller Voir et Laisser Passer, Galerie municipale Jean-Collet, Vitry-sur-Seine
Rose(s) c’est la vie, Galerie Dix9, Paris
Horizons olfactifs, Fondation pour l’art contemporain, Toulouse
Art Antwerp _Galerie Dix 9, Anne Deguelle, Niyaz Najafov, Luca Resta
2022
Intra-muros, Résidences et artistes femmes en collection, Musée Centre de la Gravure et de l’Image imprimée, La Louvière, Belgique
Le Boudoir, Galerie Dix9 Paris
2021
Présent Perfect, Part 1 et Part 2, galerie Dix9, Paris
Bienvenue, Hôtel Louisiane Paris, Galerie Dix9
Paris Photo, Grand Palais éphémère, galerie Dix9
Trecento Workshop, Galerie Italienne Paris
Duft, Smell, Olor, Musée d’art moderne Weserburg, Centre for Artist’s Publications, Brême, Allemagne
Retour aléatoire – Dominique Marchès, Centre d’Art La Chapelle Jeanne d’Arc, Thouars
Un même monde, centre d’art contemporain MAGCP, Cajarc
Théâtre d’ombres, galerie Dix9, Paris
Click and collect – marais.guide, galerie Dix9 Hélène Lacharmoise, Paris
2020
La Musée 2, Studio la Città, Verone, Italie
ART PARIS, Grand Palais, stand Galerie Italienne Paris
La Musée, commissaire Azad Asifovich, Galerie Italienne, Paris
We’re back, Galerie Italienne, Paris
Click and collect – marais.guide, galerie Dix9 Hélène Lacharmoise, Paris
#ProtègeTonSoignant, vente Piasa Paris
Viva Gino! une vie dans l’art, vitrine Marcel Duchamp, Les Abattoirs, Musée-Frac Occitanie, Toulouse
2019
Révélations, Grand
Palais Paris, stand du Mobilier National
#To me, to you, 50 femmes artistes, Maison Max Ernst, Huysmes
Utopies fluviales: Prologue, Dans le sens de la barge, Canal satellite/
ac - Migennes
et Bords de Seine – Vernon
Dessins, GAC, Annonay
Tout va très bien, Galerie Mansart, Paris
Rites & Tempos, commissariat avec Azad Asifovich, Espace d’art
contemporain L’Atelier Blanc, Villefranche-de-Rouergue et Le
Moulin des arts, Saint-Remy
2018
Jerk off Festival, Gérontophilia,
Le Point Ephémère, Paris
40 ans, GAC, Annonay
NOPOTO Noël pour tous, Paris
Vivre, Ici.Gallery, Paris, commissaire Michel Nuridsany
Eloge de la Fabrique _ Picasso et les contemporains, Musée
de Vence
Art de la ville _ Collection Frac Normandie Caen, ACSEA Hérouville
Saint Clair
Salon des Fake news , MAC, Pérouges (Ain)
Freud on the couch, Psyche in the Book, exposition dans 3 centres
d’art :- Center for Book Arts, New York, - MCBA Minnesota Center
for Book Arts, Minneapolis, - SFCB San Francisco Center for the Book,
San Francisco
186 feuilles, La Collection de dessins et photographies, Galerie municipale
Jean-Collet, Vitry/Seine
Lancement du collectif Open Call, acte1_le Banquet, galerie Mansart,
Paris
Commissariat avec Azad Asifovich, Jeune Création en association
avec L’Atelier Blanc, Galerie Mansart Paris
2017
Dix ans, galerie Dix9-Hélène
Lacharmoise, Paris
Etre pierre, Musée Zadkine,
Paris, commissaires Noëlle Chabert, Jessica Castex
L’art c’est mon dada, Ateliers des Arques, Lot
Utopies fluviales, Prologue, Espace d’art La Terrasse Nanterre
et Le Fort Tetris, Le Havre
Kintsughi Emmaüs Alternatives, galerie Mansart, Paris
Imagined Homes, Biennale de Thessalonique, Grèce, commissaires
Azad Asifovich, Jérôme Nivet-Carzon
Cinquantenaire de la mort de Zadkine # un regard contemporain, Les
Arques, Lot
Tinto without Tinto, Vlasfabriekstraat 8, Sint-Gillis, Bruxelles,
Belgique
Dominique Marchès photographie et collectionne, Château
de Montbazillac
2016
Au plus près du réel,
Commissaire Emmanuelle Hamon, FRAC Toulouse, Galerie du Majorat, Villeneuve-Tolosane
We, the People, Biennale de Casablanca, Maroc
Microscopie du banc, le point de vue du banc, Centre d’art Micro-Onde,
Velizy-Villacoublay
J’ai 10 ans, Musée du Verre de Carmaux
Affinités électives, 10eme Biennale de Gonesse, commissaire
Dominique Marchès
Ecritures, Maison Max Ernst, Huysmes
Mémoires de livres, galerie Dix9, Paris
L’art dans les chapelles_25 ans, galerie Fournier, Paris
L’art dans les chapelles_25 ans, Pontivy
YIA art fair #7 Paris, Something is rotten in the State of Denmark, galerie Mansart
2015
8+ /-2, Galerie Mansart, Paris,
commissaire Azad Asifovitch
SOON, salon de l’œuvre originale numérotée,
Paris, galerie Dix9-Hélène Lacharmoise
Les Ateliers des Arques, 25 ans de résidences d’artistes,
Les Arques et Cazals
Festival des Arts plastiques contemporains, Auzeville-Tolosane, Midi-Pyrènées
The Office of gravitational documents #fax, projet D. Cartier, Galerie
Laurent Mueller, Paris
Lux, Espace 798, Pekin Beijing, Chine
Lumière_Liàng, Minsheng Museum, Shanghai, Chine
Hommage à Bernard Point, galerie du Haut-Pavé, Paris
2014
Histoires de je, galerie Dix9,
Paris
Allégories d'oubli , Le Nouveau Festival, commissaire Bernard
Blistène, Centre Georges Pompidou, Paris
L'Abstraction au Féminin, Atelier Blanc - Espace d'art contemporain,
Villefranche-de-Rouergue
Lux! la lumière seule, Le Fresnoy, studio national des arts
contemporains, Tourcoing
2013
Journey to the End of Colour,
Musée Serralves, Porto, Portugal, commissaire Guy Schraenen
Kunst in Mi, DiLab, Valladolid, Espagne
BOXES - Green & others, galerie Hervé Bize, Nancy
El Momento-detalle, Galerie Ferran Cano, Barcelone et Palma de Majorque
2012
Point de vue : Institut universitaire_Formation
des Maîtres, Saint-Lô
Ik wens / I wish, Pavillon Van
Het IK-Eiland, Oost-Souburg, Pays-Bas
Anywhere multiples, Galerie ALB,
Paris
Cabinet de Curiosités, Artothèque de Saint-Priest, Grand
Lyon
Trophées, curiosités
et autres mauvais genres, Anywhere Galerie et Paul-Louis Flandrin
Galerie, Paris
Locus Solus, Impressions de Raymond Roussel, Musée Serralvès,
Porto, Portugal
Blanche est la couleur, Commissaire
Yves Sabourin, Passage de Retz, Paris
Drawing now / Emergence - salon du dessin contemporain, Galerie Dix9,
Paris Carroussel du Louvre
Loopingstar 2012 - Festival vidéo Sarrebruck-Forbach
2011
Point de vue, Institut universitaire_Formation
des Maîtres, Caen
25th Anniversary Art Auction, Freud Museum, Londres
ll paesaggio in transito, Bibliothèque
Storia Patria, Palerme, Sicile
ll paesaggio in transito, Ecole nationale supérieure des
Beaux-Arts ENSBA, Rouen
Librairie À Balzac A Rodin, Paris
Histoire d'une collection, Château de Saint-Priest, grand
Lyon
2010
Its a kind of magic !, Musée d’art
moderne Weserburg, Brême, Allemagne
Dessins 2 Galerie Phal , Paris
Parcours singuliers, Théâtre de Privas, revue faire part
Salon du dessin contemporain, Caroussel du Louvre Paris, galerie Phal
2009
elles@centrepompidou, Musée
national d'art moderne, Paris
Autres Rives / Autres Livres, Bibliothèque Municipale, Thionville
Galerie Serge Aboucrat, Paris
Ligne à Ligne, Galerie
nationale d'Indonésie, Jacarta, commissaire Michel Nuridsany
Salon du dessin, stand Christine Phal, Paris
2008
Deguelle, Hebert, Paradeis Lycée
Malherbe, Caen
Marché de Noël, centre d'art Le Lait, Albi et Castres
Hospitalités, sélection vidéo du réseau
TRAM, projection vidéo au Musée du Jeu de Paume Paris,
au Palais de Tokyo, Paris, à La Maison Rouge, Paris, aux Laboratoires
d'Aubervilliers, à l'Abbaye de Maubuisson, au Domaine de Chamarande
et dans les centres d'art du réseau TRAM
Archives de l'Essonne, Fête de la Science, Château de
Chamarande
SLICK, stand galerie Dix9, Paris
Sur une proposition de Anne Deguelle
"à n dimensions", Galerie Phal, Paris
Livres d'artistes, dans le cadre de la Biennale, Libairie Zadig, Berlin,
Allemagne
Transparences, L'Imagerie, Lannion
Bestiaire routier, Musée
d'art René Quillot, Clermont-Ferrand
2007
...in a mysterious way, Espace carte
blanche, Paris
Dessine-moi un, Galerie Serge Aboucrat, Paris
Rencontre #3, L’Atelier blanc, Villefranche-de-Rouergue
Rencontre #3, La Menuiserie, Rodez
Etre présent au monde, MAC / VAL,
Vitry, accrochage #2 des collections permanentes
Premier salon du dessin contemporain, Paris
Bis repetita placent, École des
Beaux-Arts de Poitiers
2006
Biennale 3000 Sao Paulo, MAC, Ibirapuera
Park, Sao Paulo, Brésil
les 18 ans des éditions Flilgrane, galerie Les Filles du Calvaire,
Paris
Da Natureza..., Musée Serralves, Porto, Portugal
Open 20, artothèque, Caen
Flux, La Générale, Paris
Ville en vues, Biennale d’ert contemporain, Gonesse, commissaire
Dominique Marchès
Territoires, Espace CE, Toulouse et Lac de Fourquevaux
Comme un mur, carte blanche à Philippe Piguet, galerie Phal,
Paris
2005
Un certain regard, Galerie Édouard
Manet, Gennevilliers
25 l’ACAPA fait son numéro, Artothèque, Angoulême
Cosmique City Bled, Musée Zadkine, Paris
2004
Miroir sans tain, cristal de temps, Ecole
supérieure des Beaux-Arts de Cornouaille, Quimper
Cosmique bled ou des corps mobiles dans
l’espace, Les Arques, Lot
Vagues 2, hommages et digressions, Musée Malraux, Le Havre
Quand on arrive en ville, collection du FRAC Basse-Normandie, 2angles
Flers/Orne
le BBB reste ouvert pendant l’inventaire, BBB, Toulouse
2003
Toujours tout droit, oeuvres du FRAC
Basse-Normandie, Rectorat de l’académie, Caen
Singuliers voyages, Domaine de Chamarande
Avoir 20 ans, FRAC-Musée d’Art contemporain les Abattoirs,
Toulouse
Cinema(s), coll. Frac auvergne, Espace Boudeville, Dompierre-sur-Bresbe
Éditions Buyse, Centre des livres d’artiste, Saint-Yrieix-La-Perche
2002
Ars photographica, musée d’art
moderne Weserburg, Brême, Allemagne
Tout doit disparaître, acquisitions de l’artothèque
du Limousin, Tulle
Paris-Brooklyn, Galerie Schroeder Romero, New York
Ma maison dans ta rue, FRAC Basse-Normandie, Caen
Galerie Le Réverbère, Lyon
2001
Espaces critiques, Collection photograp.
FRAC Basse-Normandie, Mücsarn Kunsthalle, Budapest
Superposition, Musée Zadkine, Paris
ARCO, Madrid, Galerie Ray Gun, Espagne
Foire de Miami, Galerie Ray Gun, Espagne
Petites poésies à usage furtif, FRAC, Clermont-Ferrand
A l’heure où le ciel se couvre de sel, Fonds d’art
moderne et contemporain, Montluçon
2000
Paris 3D, Musée Carnavalet, Paris
Cinq, Château de Montfort, Vernet-La-Varenne, Auvergne
Art à l’hôtel, Galerie Ray Gun, Valence, Espagne
Mémoires provisoires, coll. FRAC Auvergne, Centre culturel
V. Larbaud, Vichy
1999
Galerie François Rivier, Vevey,
Suisse
Paris-Photo, Paris, galerie Anne Barrault
Demeures, Musée Zadkine, Paris
Passage du siècle, Passage de Retz, Paris
Un, deux, trois, soleil !, Donjon de Vez
L’image et ses révèlateurs, Musée Crozatier,
Le Puy en Velay
1998
Entre opacité et transparence,
FRAC Auvergne
Jeux de genres: Fonds d’art contemporain de la ville de Paris,
Espace Electra, Paris
Nouvelles acquisitions, FRAC Basse-Normandie
1997
Potlatch pour Noël Arnaud, , Musée
d’art moderne et contemporain, Toulouse
Photographies, Chapelle Marmontel, Mauriac
Odeurs ... une Odyssée. Passage de Retz, Paris
Du ciel à la terre. Musée Ingres, Montauban
Transit ou la vie en suspens, photographies contemporaines, FRAC,
Clermont-Ferrand
1996
Passeurs de lumière, Musée
Halle Saint-Pierre, Paris
Les pilleurs d’épaves, Künstlerhaus Bethanien, Berlin
Les pilleurs d’épaves, Kuenstlerwerkstatt Lothringerstrasse,
Münich
1995
Une collection,dessins, Centre culturel,
Limoges
Dessin contemporain, Musée de Valence
L’Atelier parisien, Le journal des expositions, Paris
1994
Centre d’art contemporain de Vassivière,
Ile, terre, eau, ciel, Installation dans la tour
Odessa-Champclause, Musée d’histoire, Odessa , Ukraine
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Expositions - Commandes
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commandes publiques
2023
La chambre des Modèles, recomposition de la commande de 1996, Université Clermont-Auvergne, campus les Cézeaux
2017
Restauration de la Porte des Ecritures, Archives Départementales de l’Essonne, château de Chamarande
2004
1796 / 1999 la Porte des Écritures,
Archives Départementales de l'Essonne, Château de Chamarande.
1998
A riveder le stelle, commande
publique d'Etat, intervention sur pylône de télédiffusion,
Felletin.
1996
La chambre des Modèles,
Université Blaise Pascal, les Cézeaux, Clermont-Ferrand.
1994
La première
phrase, Lycée de Saint-Priest, Lyon.
Bourses
2010
A llocation de recherche du Cnap pour le projet Le tapis de Sigmund
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textes critiques
Marguerite Pilven,entretien, exposition L’arctique fantôme, Espace d’art L’AhAh #Moret, Paris- 2024
Au terme d’une longue conversation dans son atelier, j’ai été frappée par le talent de conteuse d’Anne Deguelle. Aux murs, des fleurs séchées présentées seules ou assemblées en bouquets, fixaient la mesure d’un art de la collecte et du prélèvement qui en nourrit les récits et les porte autant qu’il les anticipe. Chacune de ses expositions les transforme en de stimulantes constellations à parcourir du regard, supports de paroles et réceptacles à récits. Nous ne sommes pas allés, comme elle, jusqu’à Pyramiden, mais les photographies qu’elle nous rapporte de cette ancienne cité minière construite aux portes du pôle nord, nous font entrer dans son palais de la culture, sa bibliothèque, son salon de musique, sa salle de sport et sa piscine, des bâtiments collectifs dont l’aspect subitement abandonné ont rappelé à Anne les installations de l’artiste russe Ilya Kabakov, grand metteur en scène de la fin du monde soviétique.
Une fin du monde, une fonte des glaces, le site archéologique d’une histoire récente, entremêlant dans ses ruines le double visage de l’économie mondialisée et de la guerre, voilà comment Anne Deguelle redécouvre ces images d’un voyage entrepris en 2014, en un évident écho avec 2023. Il y était d’abord question d’aller cherche du blanc, la lumière blanche comme élément physique à la source de tout phénomène de perception, ou d’aveuglement. Il n’y aura pas d’expérience du blanc à l’arrivée, mais celle du bleu de glace fondue qui lui fera rejoindre un bateau de touristes déçus à qui l’on propose d’aller toujours plus loin, plus haut, pour 2h30 de visite de Pyramiden, cité dystopique à ciel ouvert, en compagnie d’un militaire armé.
L’arctique fantôme, le titre choisi par Anne Deguelle pour cette exposition, en souligne l’aspect « carnet de route » et fait déjà l’effet d’une bande-son1 par son éloquence. J’ai partagé avec Anne un texte de Walter Benjamin sur lequel je reviens souvent, « Le conteur », aussi traduit en français par « Le narrateur ». J’imaginais que nous pourrions, depuis cet écrit, revenir sur cet art de conter qui lui est si cher et lancer le désir en évitant d’avoir à dire ce que l’exposition aborderait, questionnerait, confronterait, ou qui est Anne Deguelle et quels sont ses sujets de prédilection.
Walter Benjamin a raison, ce qui est funeste à la narration, c’est l’information : « L’extraordinaire, le merveilleux, on le raconte avec la plus grande précision, mais on n’impose pas au lecteur l’enchaînement psychologique des événements. On le laisse libre d’interpréter la chose comme il l’entend, et ainsi le récit est doué d’une amplitude qui fait défaut à l’information ».
« Je ne connaissais pas cet étonnant texte qui a des fulgurances si contemporaines, m’a écrit Anne, je réalise combien on réclame, en tous domaines, de « nouveaux récits » comme si le morcellement de nos vies contemporaines nous faisait ressentir l’urgence d’un ciment collectif, d’un lien, d’une fondation d’un commun à jamais disparu. (…) Lors de visites d’atelier, de vernissages ou de demandes de présentation, j’ai souvent hésité à qualifier mes présentations orales de « performance » mais le terme est inexact, car il s’agit plutôt d’une petite improvisation en « roue libre », et d’un moment que je considère intrinsèque du travail, ou de l’œuvre. Je tiens à leur statut d’accompagnement, c’est un volet de l’œuvre comme peut l’être une édition, ou comme l’étaient les cartons d’invitation quand ils étaient entièrement conçus par les artistes ».
Voici donc pour « la manière ». Et qu’en est-il des choix d’accrochage, de dispositif, de rapprochement des images et des objets collectés autour d’un sujet ?
« On peut être étonné que mes présentations abordent très rarement, voir jamais, mes choix formels. Je considère que ceux-ci appartiennent au regard et qu’aucune considération verbale ne pourra rendre compte de ce moment suspendu -quand il existe- ni des décisions qui relèvent de la pure intuition. On peut bien sûr situer ce qui est tenté dans un cours historique ou dans l’évolution de sa propre démarche, mais in fine, cela va satisfaire comme « information », pour reprendre le terme de Benjamin, mais n’aura aucun rapport avec le phénomène que l’on qualifie d’œuvre d’art.
En revanche j’ai toujours une énorme confiance dans les visiteurs et je sais que parler simplement du contexte, là je rejoins Benjamin, leur fait toucher ce qui leur appartient.
Cette sorte « d’artisanat contextuel », peut créer une confiance et constituer un vrai partage.
Je ne sais plus si nous avions parlé, du journal de Pontormo, une grande révélation pour moi quand je l’ai lu dans la revue Macula, traduit par Jean-Claude Lebenzjtein.
Pontormo réalise les fresques de San Lorenzo, mais il n’en dit rien, ou juste de laconiques « j’ai peint la main » ou « j’ai peint le bras », il ne parle que de ce qu’il ingère, le temps est compté, il va mourir, il faut finir la fresque et il ne doit pas tomber malade. Aucun commentaire sur le travail, mais le journal est totalement révélateur.
Pour Pyramiden, j’y trouve tous les ingrédients d’une fable, ce qui le permet c’est d’avoir en face l’insolente beauté de l’immense glacier, ce qui nous échappe c’est sa transmutation en un flot titanesque de catastrophes irréversibles, inventons une nouvelle arche de Noé !
Dernière utopie : je crois encore dans les vertus de l’art, il ne s’agit pas de changer le monde, mais juste de tourner légèrement la tête, repenser à Néandertal qui ne taillait jamais ses bifaces de la même manière, rationnaliser ne l’intéressait pas, et à la boite vide-poche de Josef Beuys, « intuition ».
Télécharger le texte
Anne Deguelle
Octobre 2022
Par François Salmeron
La force du détail
La vie n’est qu’une suite de hasards !, s’enthousiasmait le chef de file des surréalistes, André Breton1.
Une philosophie dont l’exemple le plus saisissant se rencontre dans son roman dédié à la mystérieuse Nadja, parsemé de « hasards objectifs »… et que l’oeuvre d’Anne Deguelle, nourrie par l’étude de la vie de quelques figures majeures du XXe siècle (Marcel Duchamp, Raymond Roussel, Camille Flammarion, Sigmund Freud…), émaillée des plus étranges coïncidences, ne saurait contredire. C’est d’ailleurs à la lecture du Journal de Jacopo da Pontormo2, où le peintre maniériste détaille ses états d’âme, sa santé et son alimentation quotidienne (plutôt que de nous expliquer comment s’élabore sa fresque pour la basilique de Florence !), qu’Anne Deguelle a déniché la clé de son propre processus créatif : le diable se cache dans les détails, tel que le soutenait déjà le Zarathoustra de Nietzsche, c’est-à-dire dans les petites choses de l’existence que l’on pense a priori anecdotiques ou insignifiantes, mais qui s’avèrent riches de sens, dès lors que l’on prend la peine de s’y arrêter et de les interpréter…
Filiations intimes
Se dévoile ainsi une certaine compréhension des affaires humaines, bien loin d’une histoire « achilienne » seulement soucieuse des faits les plus spectaculaires et les plus remarquables, à l’instar du héros de l’Iliade. En deçà de la grande Histoire, dont les récits et les chefs-d’oeuvre catalysent l’attention, point une multitude de petites histoires. Celles de l’intime, dont l’art, à partir des années 1980 et de « la fin des grands récits »3, s’empare notamment. Tel est le cas de l’oeuvre d’Anne Deguelle, à travers ce qu’elle appelle son Diary, qui suit le principe d’un journal personnel fait de notes, de bribes et de fragments, soit de « petits riens » qui, en s’associant, font émerger du sens. Ses Corpus dédiés aux personnalités précédemment citées, se déroulent quant à eux comme une enquête ou une narration qui nous plonge dans les confins de leur existence – là où naissent les mythes et où les coïncidences nous sidèrent comme une pluie d’étoiles filantes. Car les oeuvres d’Anne Deguelle tissent une véritable filiation, de Duchamp à Flammarion, en passant par Roussel, Bataille, Freud et Dürer, où le motif de l’étoile sert justement de fil rouge ou de balise marquant les croisements de leurs destinées. Ce fil, aussi ténu soit-il (et fécond !), a toutefois une condition : seul un regard attentif saurait le déceler (ou l’inventer ?), le tirer, et le voir éclairer d’un jour nouveau ces histoires singulières.
Une conversion du regard
Chez Anne Deguelle, le détail joue le rôle d’un détonateur, à l’image de ce que Roland Barthes
dénommait le Punctum. Soit un « détail » qui agit comme « une piqûre, un petit trou, une petite tache, une petite coupure – et aussi un coup de dés ». Ce détail, « c’est ce hasard qui [nous] point » et qui nous « attire ». Barthes remarque encore que sa « seule présence change [notre] lecture et emplit tout »4. Ainsi, la force du détail frappe non seulement notre coeur, mais corrige notre myopie : sous son effet, s’ajuste notre focale. On assiste à une conversion du regard, qui se rend désormais attentif aux moindres éléments qui parsèment une vie et son oeuvre. On parlera en cela d’une « esthétique de l’ordinaire » qui nous mène à apprécier ce qui est déjà là, sous nos yeux, et que l’on ne savait plus considérer. On en déduira que la poésie est bel et bien partout, en toutes choses, et qu’il incombe à l’artiste de nous la révéler. Le regard d’Anne Deguelle se porte donc vers ce qui nous échappe, et les recoins oubliés (l’inconscient ?) des histoires.
Rhapsodie et révélation
Anne Deguelle épouse la position d’une rhapsode : elle tisse, à partir de bribes d’existence, des récits constellés de sens et de symboles, d’échos et de passerelles. L’histoire, plutôt que de suivre une ligne progressive, fonctionne par effets de résonance et de répétition – tout d’ailleurs dans l’oeuvre d’Anne Deguelle se redouble sans cesse. Des jeux de piste et des digressions, des calembours et des glissements (comme des ricochets et des associations d’idées chers aux surréalistes, à Roussel et à Duchamp), caractérisent l’état d’esprit propice à la création et à la « saisie » des signes infimes qui se nichent dans les événements… L’énigmatique polyèdre de la Melancolia de Dürer, qu’Anne Deguelle dédouble dans une installation, offre une dernière clé de lecture. Tandis qu’une étoile noire traverse le ciel, annonciatrice des catastrophes à venir, l’allégorie de la mélancolie abandonne à ses pieds les outils de la science moderne, pour se recueillir. Le retour à l’équilibre cosmique passe par une mise en suspens de nos activités, et le ré-enchantement du monde par un moment de réflexion… Ainsi, la mélancolie, c’est ce temps de pause qui se trouve à la racine de toute pensée et de tout geste créateur. C’est un acte de méditation où l’on en vient à reconsidérer notre place dans le monde, aussi infime soit-elle, et sa fragilité substantielle.
François Salmeron
Critique d’art membre de l’AICA-France
Chargé de cours aux Universités Paris 1 Panthéon-Sorbonne et Paris 8 Saint-Denis
Co-directeur de la Biennale de l’Image Tangible
1 « Pouvez-vous dire quelle a été la rencontre capitale de votre vie ? Jusqu’à quel point cette rencontre vous a-telle
donné, vous donne-t-elle, l’impression du fortuit ? Du nécessaire ? » Questionnaire d’André Breton et Paul Eluard dans la revue Minotaure, numéro 3, éditions Albert Skira, 1933.
2 Le Journal de Pontormo, édité et commenté par Jean-Claude Lebensztejn, revue Macula n°5/6, 1979.
3 Jean-François Lyotard, La Condition postmoderne, Editions de Minuit, Paris, 1979.
4 Roland Barthes, La Chambre claire, Chapitre 10, Chapitres 18-19, Gallimard, Paris, 1980.
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Le Tapis de Sigmund,
Anne Deguelle, 2018
Compte rendu du projet Le tapis de Sigmund ayant
bénéficié du Soutien
pour le développement d'une recherche artistique du CNAP,
2010
Intégrant souvent dans mes oeuvres les icônes
du passé tant littéraires qu'artistiques, j'ai été
amenée à reconsidérer l'objet iconique de Sigmund
Freud, le divan et le tapis oriental au point noué dont il
l'avait recouvert.
Ce type de recherche nécessite la consultation de nombreux
documents et des déplacements ou des séjours sur les
lieux concernés pour y découvrir des indices que j'incorpore
ensuite à mon travail sous forme de photos, vidéos,
dispositifs.
Il s'est avéré que je devais me rendre au musée
Freud de Londres pour y voir le divan "in situ" et consulter
la documentation disponible, puis à Vienne dans le lieu où
Freud avait vécu la presque totalité de sa vie, devenu
lui aussi musée et centre de documentation.
J'ai alors sollicité le dispositif d'aide pour le soutien à
la recherche.
J’ai pu lors de ces séjours faire plusieurs découvertes
éclairantes pour ma recherche, dont l'influence de collectionneurs
et historiens d'art tels que Wilhelm von Bode sur le statut des tapis
d'Orient dans l'art européen. Des écrits de cet historien
figurent dans la bibliothèque de Freud.
Cette étude m'a conduit à mesurer le rôle du décoratif
dans cette création textile, ses liens ancestraux avec le langage,
sa picturalité, son influence sur l'art moderne et contemporain.
Ainsi, j'ai pu présenter en 2011 au Freudmuseum de Londres
–musée qui depuis son ouverture présente des artistes
contemporains- une grande installation montrant pour la première
fois la collection de tapis orientaux de Freud conservée dans
les réserves du musée.
Le Tapis de Sigmund fut également exposé à Paris,
à la Bibliothèque Sigmund Freud (2010) et à la
galerie Dix9 (2012), puis au Musée départemental du
Textile du Tarn (2012).
En 2013, il est réactivé dans le cadre de "Ulysses
, un itinéraire d’art contemporain" (Frac Provence-Alpes-Côte
d’Azur), exposition « Egarements » au Château
d’Avignon.
Le portfolio « Le Tapis de Sigmund » est entré
dans les collections de la Bibliothèque de Yale aux Etats Unis
et dans celle de la BNF. Il est actuellement présenté
dans l’exposition « Freud on the couch_Psyche in the book
» successivement au Center for Book Arts à New York,
au Minnesota Center for Book Arts à Minneapolis et The Center
for the Book à San Francisco.
Un catalogue a été coédité par le Freud
Museum London et Archibooks en 2011, ainsi qu’un numéro
de la revue "Semaine" (Les Presses du Réel, 2012).
Depuis cette oeuvre a fait l’objet d’une commande du Mobilier
national « a dream in a carpet » et prendra la forme de
deux réalisations en dentelle, l’une en dentelle du Puy
et l’autre au point d’Alençon.
Par ailleurs ce travail a fait l’objet d’une étude
dans un ouvrage de Joanne Morra consacré à l’art
contemporain dans le cadre des musées Freud à Londres
et à Vienne Inside the Freud Museums, History, Memory &
Site-Responsive Art, éd. I. B. Tauris, 2017 et l’oeuvre
« Composite 8 Freud-Holbein » a été reproduite
sur la couverture du livre de Jean Michel Rabaté Introduction
to Literature and Psychoanalysis, aux éditions Cambridge University
Press au Royaume Uni, 2014.
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Un observatoire introspectif des mondes
- Marc Bembekoff
Surplombant la ville de Los
Angeles, le planétarium du Griffith Observatory propose un
spectacle intitulé Centered in the Universe (littéralement
« Au centre de l’univers ») qui pose
des questions aussi fondamentales que la place de l’homme dans
l’univers – qui est-il, d’où vient-il ?
Immortalisé par Nicholas Ray dans une scène de Rebel
Without a Cause (La fureur de vivre, 1955), ce théâtre
de tous les possibles devient la métaphore d’un cosmos
dont nous ne soupçonnons qu’une infime partie. Tout comme
les personnages incarnés par James Dean et Natalie Wood –
qui sont à la recherche d’un sens à leur existence
dans une adolescence tourmentée, entre affrontements de gangs
et autorité parentale stérile – le spectateur
du Griffith Observatory se retrouve dans des conditions propices à
une forme d’introspection : les fauteuils de ce cinéma
sont orientables, et permettent quasiment de s’allonger. Ou
comment passer d’un monde clos à l’univers infini.On
retrouve cette même position dans le cabinet de Freud. Le célèbre
divan sur lequel le psychanalyste recevait ses patients leur permettait
de s’allonger sur un tapis qashqai du 17e siècle. D’échelle
différente, le dispositif semble finalement le même :
si la représentation du ciel étoilé du Griffith
Observatory se trouve en hauteur face au regard du visiteur, cette
même représentation, chez Freud, vient envelopper le
sujet, dans une matérialité soyeuse et confortable.
En effet, le tapis qashqai recouvrant le divan reproduit le schéma
d’une constellation d’étoiles, motif souvent privilégié
par ce peuple nomade de la région iranienne de Shiraz. Comme
un miroir en laine douce reflétant le ciel, ce tapis positionne
l’homme dans le Cosmos. On assiste ici à une forme de
mouvement à double révolution, entre introspection du
sujet et extrospection vers un univers infini que vient matérialiser
ce tapis. Bien que la Californie semble loin des plaines désertiques
d’Iran, il paraît opportun de dresser des parallèles
entre ces deux civilisations, la scène artistique américaine
– et encore plus précisément californienne –
étant fortement marquée par une mystique ancestrale
à laquelle le peuple qashqai participe grandement. Au-delà
du film de Nicholas Ray, bon nombre d’artistes de la côte
ouest n’ont eu cesse de puiser dans la symbolique de l’Asie
centrale, dans une volonté affirmée de repenser notre
rapport au monde. L’apport des recherches de Sigmund Freud et
sa psychanalyse ont évidemment opéré comme un
filtre déterminant dans ce positionnement artistique. Ainsi,
les expériences sensorielles et cinématiques des années
1950 et 1960 s’inscrivent dans cette histoire. En 1957, pour
le planétarium Morrison de San Francisco, Jordan Belson collabore
avec le musicien Henry Jacobs pour créer une série de
spectacles Vortex alliant images et son. Les images abstraites des
films de Belson ne sont pas sans rappeler certains des motifs géométriques
colorés élaborés par les Qashqai. Ces formes
opèrent ici comme des mantras menant le spectateur vers un
univers autre, aux confins de l’inconscient. En axant ses recherches
sur le tapis qashqa'i du divan freudien, Anne Deguelle révèle
le coté mystique de cette culture ancestrale et la manière
dont celle-ci, via Freud, a rejailli sur certaines formes de création
modernes et contemporaines. Les images Composites (2010) de l’artiste
décortiquent ainsi les motifs abstraits des tapis, achetés
par Freud de son vivant, qui sont juxtaposés à des œuvres
« occidentales ». Le memento mori du crâne
anamorphosé des Ambassadeurs d’Holbein, ou encore le
portrait de John Giorno endormi et filmé par Andy Warhol dans
Sleep sont mêlés à des détails de tapis
qashqa'i, ce qui en fait ressortir davantage leur symbolique et leur
force formelle. En jouant habilement avec ces formes, et en en proposant
une mise en espace spécifique pour le Freud Museum, Anne Deguelle
s’inscrit dans une arborescence qui permet au visiteur de S’orienter
– pour reprendre le titre de cette installation de l’artiste
de 2001 – dans une cosmogonie complexe où se rencontrent
fortuitement diverses influences.
Marc Bembekoff est commissaire
d'exposition indépendant, curator au Palais de Tokyo (Paris).
En 2005, il a co-fondé le collectif Le bureau/ avec lequel
il a organisé de nombreux projets : www.lebureau.tk
Voir
Palerme et mourir - Philippe Piguet
Un principe de concaténation règle irrésistiblement
le monde de la création. Question de modélisation et/ou
de réaction. Raymond était fasciné par le génie
inventif de Camille dont il enviait le succès populaire. Sous
le coup de la représentation d’Impressions d’Afrique,
Marcel emprunta à Raymond la mécanique fondatrice de
son grand oeuvre. Camille Flammarion, Raymond Roussel, Marcel Duchamp
: depuis plusieurs années déjà, Anne Deguelle
ne cesse de les poursuivre pour tirer de leur fréquentation
matière à sa démarche.
S’il fut un temps où, pistant l’auteur de La mariée
mise à nu par ses célibataires, même, elle a démontré
que c’est sur le modèle structurel de l’usine de
fabrication de la Bénédictine à Fécamp
que Duchamp a conçu son oeuvre, en 2005 elle s’en est
allée passer une dizaine de jours en Sicile sur les traces
de Raymond Roussel. On le sait, c’est au «Grand Hôtel
et des Palmes» de la ville de Palerme que le prodigieux écrivain
a mystérieusement fini ses jours, dans la nuit du 13 au 14
juillet 1933. Le choix de Palerme, sa détermination à
ne plus vouloir en revenir et sa disparition, ce sont là autant
d’éléments qui n’ont jamais été
vraiment élucidés. Autant d’énigmes qui
fascinent Anne Deguelle, non qu’elle aspire à jouer les
détectives mais parce que son art relève d’une
dialectique qui conjugue réalité et fiction à
un point de fusion tel que l’un justifie l’autre, et vice-versa.
Dix jours durant, Anne Deguelle a donc erré à Palerme
se laissant guider bien plus par une sorte d’intuition naturelle
que par tout souci de reconstitution mémorable. Si elle a passé
toutefois deux nuits dans la chambre 224 du Grand Hôtel en question,
si elle s’est rendue sur la plage de Mondello vraisemblablement
chère à l’écrivain, si elle est allée
en repérage à l’hôtel Savoia où le
jeune chauffeur de Roussel était logé, elle a surtout
cherché à attraper toutes sortes de signes en équivalence
au monde sensible de l’auteur de Comment j’ai écrit
certains de mes livres.
Sans jamais tomber dans les travers d’une « roussélâtrie
» de pacotille mais en écho subtil au monde poétique
et imaginaire du poète-écrivain, Anne Deguelle a emmagasiné
photos et vidéos de situations et d’images y référant.
Ici, le motif de l’étoile, allusion à ce petit
sablé de forme étoilée que Roussel avait rapporté
d’un déjeuner chez Flammarion ; là, les noms de
rues évocateurs d’une planète. Ici, une longue
frise de marbre dessinant au sol les signes du Zodiaque ; là,
le dossier d’une chaise au dessin en éventail d’une
palme stylisée. A la façon d’un Georges Perec
dont le « Cahier des charges de La Vie mode d’emploi »
est un véritable trésor d’outils et de repères,
de relevés et de notes, de tableaux et de croquis, soulignés,
encadrés, caviardés, Anne Deguelle a constitué
tout un monde d’indices instruisant à sa façon
sur un mode dérivé le voyage palermitain de Roussel.
Son dernier voyage. Voir Palerme et mourir. Est-ce là le message
de Raymond Roussel ? Si oui, quel sens lui prêter ?
Comment l’appréhender à l’aune d’une
oeuvre qui est elle-même une énigme ? Quel bout de fi
celle tirer pour tenter d’y voir clair ? A ces interrogations
qui taraudent l’esprit de tous les exégètes de
l’écrivain, Anne Deguelle n’a pas l’intention
d’apporter de réponses déterminantes. Elle se
contente d’alimenter par ses images – photos et vidéo
délibérément mêlées - le mythe roussélien
contribuant
de la sorte à édifi er l’immense palimpseste de
la mémoire. A l’opposé d’un scientifi que
qui s’applique à mettre à jour le fonctionnement
des mécanismes de l’objet qu’il étudie,
Anne Deguelle s’efforce d’élargir la part mystérieuse
de l’aventure ultime de Raymond Roussel de sorte qu’elle
reste à jamais en l’état, c’est-à-dire
défi nitivement opaque.
Quelque chose d’une analogie rapproche Le Grand Verre de Duchamp
et la disparition de Roussel. Une même sorte de mystère
les entoure qui leur confère une résistance à
toute épreuve. La façon dont l’artiste a conçu
son oeuvre et la résistance de celle-ci à ne pas vouloir
se dévoiler, sinon à conduire ceux qui s’y collent
à toutes les investigations possibles, fait écho à
l’énigme de « La strana morte di Raymond Roussel
» (l’étrange mort de R.R.) comme le titrait encore
l’article de Mauro de Mauro paru en 1966 dans L’Ora, le
quotidien de Palerme, 33 ans après l’événement.
Suicide ? Overdose ? Voire assassinat ? Le débat reste ouvert,
excitant la curiosité des inconditionnels de l’écrivain.
Après Michel Leiris en 1949, Marcel Duchamp en 1963 (arrivant
à Palerme trente ans jour pour jour après Roussel) et
Jean-Michel Othoniel en 1993, Anne Deguelle a fait à son tour
le voyage. Le journal qu’elle en a rapporté et les images
qu’elle en a faites sont une invitation à nous
entraîner dans les dédales d’une aventure qui se
nourrit de son propre mythe.
Philippe Piguet, 9 mars 2008
Texte d'Emmanuelle Lequeux paru dans
le catalogue de Maubuisson "Abbey Road" en 2005.
Un jour, une pluie d’étoiles
est arrivée. Par la poste. Elles étaient serrées
sous enveloppe, dans une soie noire. Dispersables au moindre mouvement.
Cette poudre d’argent était accompagnée, dans
le courrier, de lunes et soleils grignotés, de feuilles de
bleu nuit : comme pour initier un enfant doux aux jeux de l’astronomie.
Responsable de l’envoi, Anne Deguelle cherchait ainsi à
signer (discrètement) « la plus grande installation au
monde » : la fameuse éclipse du 11 août 1999, qui
devait avoir lieu quelques semaines plus tard. La signer, pour la
beauté du geste, sa minimale mégalomanie…
J’ai toujours gardé précieusement cette enveloppe,
et me voilà aujourd’hui à nouveau, cette poudre
sous les doigts, me replongeant dans l’univers de cette artiste
du ténu et de sa luminosité. Comme si, dans cette enveloppe,
il y avait une clef. Autre œuvre que je tourne et retourne entre
mes mains : cette petite boîte de conserve, liée à
si peu de choses elle aussi (à tant de colossaux mystères),
où l’artiste a enfermé 36320 neutrinos : À
cette seconde, 36320 neutrinos ont traversé cette boîte,
est-il écrit. Hommage amusé à l’ancêtre
Pietro Manzoni, qui fit conserve, dans les années 60, de sa
Merda d’artista ; mais, surtout, tentative désamorcée
d’attraper le monde, dans toute sa complexité. Et de
garder conscience qu’il échappe, toujours.
C’est ainsi, par l’infime, qu’il faudrait aborder
le rivage de cette œuvre. En tournant autour de ses microscopiques
évidences, en énumérant ses très quotidiens
mystères, en estimant ses grains de sables, comme Anne Deguelle
elle-même compte les noms et les neutrons, ou dresse la liste
d’appel des étoiles. Le processus, que l’on retrouve
d’une exposition à l’autre, a la simplicité
de tout geste poétique : il consiste à égrener.
Ainsi, et même si le visiteur de son exposition de Maubuisson
est confronté à de vastes installations et une floraison
d’histoires, qu’il ne s’y trompe pas : l’essentiel,
pour l’artiste, réside dans le rien. Aussi importantes
que ses propres pièces, le bruit du vent et de l’eau
sur cet ample domaine ; les souvenirs qui y flottent ; le souffle
des noms.
Dans l’abbaye, deux systèmes de diaporama projettent
ainsi sur le grand mur de l’ancienne grange les prénoms
des sœurs qui vécurent ici. Elle en a recensé 118
: Blanche, Luce, Marguerite, Agnès, Guillemette, Venturine,
mais aussi Louise-Hollandine, Gabrielle-Césarine, Pétronille,
Mabille ou encore Milescente. À quoi se mêlent les prénoms
des contemporaines responsables du lieu, accolés à leur
lieu d’origine, comme antan. En s’approchant de cette
pluie de haut-parleurs qui tombent du haut plafond, le visiteur les
entend ainsi égrenés par des voix d’ailleurs.
À commencer par Blanche… de Castille, créatrice
du lieu et mère de saint Louis. Mais aussi Christine de Nouméa
ou Virginie de Belleville, les contemporaines. Le nom : un identifiant
? Ce qui fige sur place, mais aussi ce qui ouvre sur tous les imaginaires.
Une marque infime, mais aussi un tout. Ce qui fabrique l’être,
et ce qui parvient si mal à le suivre dans ses méandres
et ses évolutions. À Vitry, en 2001, Anne Deguelle avait
créé une même litanie : Rudi, Ugo, Sirine, Yasmine,
ou Miguel,… Il s’agissait alors de la liste des enfants
nés dans la commune en l’an 2000. Manière, encore
une fois, de nous livrer les modestes pages de l’Histoire de
France, tout en disant l’énigme des individus. Elle développa
également cette problématique dans une intervention
publique effectuée à Gennevilliers, en 1998 : arrachant
de vieilles photographies de mariage aux archives de l’ancienne
mairie (devenue ce centre d’art, qui l’invita à
exposer), elle les découpe, y sélectionne des visages,
les agrandit pour en faire des affiches, ancrant la ville dans sa
mémoire négligée, redonnant aux individus ce
droit de cité que leur refuse la société du marketing.
Parasitage en douceur de l’espace public…
Cette attention tendre et curieuse aux visages, on la retrouve dans
ses différentes séries liées à la thématique
de la « jumellité », qui l’a longtemps obsédée.
Anne Deguelle a ainsi réalisé toute une série
de doubles portraits d’enfants, destinés à devenir
hommes et femmes célèbres : Gertrude Stein, Marcel Proust,
Marcel Duchamp ou James Joyce. Leurs visages (identiques ?) se retrouvent
en duel, l’un confronté à l’autre, du pareil
au même. « Ce que je dis deux fois est vrai », simule
l’artiste. Double : similaire, simulacre, faux et vrai semblant…
L’artiste se souvient toujours de ce Gérard de Nerval
griffant l’incipit de son livre d’un « Je suis l’autre
» ; du « Je est un autre » de Rimbaud ; elle aime,
aussi, à évoquer cette coutume Yoruba, établie
chez les parents qui ont perdu un jumeau : ils emmènent l’enfant
survivant chez un photographe, pour en faire un double portrait qui
simule le couple de bambins assis l’un à côté
de l’autre. Manière d’apaiser l’esprit du
disparu, d’espérer qu’il ne tentera pas de ramener
le survivant auprès de lui, le mort. Formes instables et in-certaines,
qui mettent en doute ce que le langage et la photographie tiennent
pour évidence… On en revient à cette conscience
qu’a l’artiste de la réalité : volatile
comme un gaz. Opacifiée comme une gaze.
À considérer cette série de jumeaux, il serait
facile d’en conclure qu’il existe deux Anne Deguelle :
l’une qui vit entre les étoiles et la voie lactée
; l’autre, attentive à l’histoire sociale des lieux
qui l’accueillent, à la condition ouvrière, aux
destins immigrés. L’une, qui serait réflexive,
nimbée de concepts, fascinée par les écrits de
Raymond Roussel ; et l’autre, toute générosité,
ravie de partager son travail avec les enfants d’une école
de Vitry-sur-Seine. Un « duo », donc ? Cette évidence
ne lui siérait guère. Est-ce son art souriant de la
digression, sa capacité à cheminer en coq-à-l’âne
? Anne Deguelle réussit à concilier tous ses personnages
et toutes ses passions, pour construire une œuvre harmonieuse,
à l’écart des chemins tout tracés : poétique
parce que sociale, et sociale parce que poétique. Elle n’a
définitivement rien de double. C’est plus complexe et
plus touchant : elle est recto-verso. Et livre beaucoup de ses secrets
quand elle avoue, comme premier choc esthétique, la Reddition
de Breda par Velasquez, au Prado. Elle avait quinze ans, elle a «
alors compris ce qu’était la peinture ». L’essentiel
tient dans sa description du tableau : « une bataille, deux
clans, un échange et une trouée, quelque chose qui se
passe, et un univers s’ouvre ». Étonnant de voir
combien, dans le moindre de ses mots, l’on retrouve ce même
motif : où le langage travaille sa schizophrénie certaine
; où tout se situe à cet endroit, de la déchirure.
Mais revenons à cette vieille idée fixe et stellaire…
Zhiba, Denebola, Kaffa, Étamin : des étoiles, Anne Deguelle
connaît tous les noms arabes ; elle sait leur électricité,
leur lumière si lente à nous parvenir, et peut les dénicher
jusque dans les frontispices de certains livres, comme celui où
Gérard de Nerval, encore, a laissé de sa main une étoile
et un oiseau en cage, signés d’un « G rare ».
Une pluie d’énigmes qu’elle décortiqua un
jour dans une enquête quasi-policière pour la déployer
quelque temps d’exposition en exposition. Tout en jeu de renvois
et de mots, elle la perpétua notamment dans un superbe accrochage
à la galerie Arnaud Lefèvre en 2000 : elle y avait dessiné
en installation toute une constellation de signes, avec lapsus volontaires
et glissements de sens autour de l’étoile rasée
sur le crâne de Marcel Duchamp, des leçons d’astronomie
de Camille Flammarion, et des Impressions d’Afrique de Raymond
Roussel. Étoile : ce qui donne le repère, ce qui dit
le lointain… Pleine de sa poudre argentée, cette enveloppe
signataire de l’éclipse de 99 livre bel et bien des indices
: elle s’ouvre sur cette brèche où travaille l’artiste,
faille entre le monde et son idéal, le présent et son
passé. Ces entités entre lesquelles Anne Deguelle se
plaît à aller et venir.
Élevée à l’art surréaliste du lapsus,
experte en glissements dans sa conversation comme dans son œuvre,
l’artiste aime à jouer des mots comme des signes du réel
: « difficile, quand on est obsessionnelle comme moi, de ne
pas voir des signes partout », s’amuse-t-elle. Son art
consiste ainsi avant tout à arpenter ce « Ministère
des coïncidences » qu’évoquait Marcel Duchamp,
un de ses « cobayes » esthétiques préférés.
Une enquête autour du Grand Verre réalisé par
le maître la conduit ainsi dans une manufacture de Bénédictine
du XIXe siècle. Une usine étonnante, créée
par un marchand de vin qui eut la lumineuse idée de retrouver
le parchemin sur lequel se trouvait la recette de l’élixir
des bénédictins. De cette histoire est né ce
bâtiment, à la fois usine et musée, pastiche Renaissance-Baroque
dont les vitraux racontent l’épopée qui inspire
Anne Deguelle. Persuadée que Duchamp a visité le lieu
où travaillaient de jeunes orphelines, et que l’on en
retrouve des traces dans son grand œuvre, elle construit son
propre travail autour de cette présomption, à travers
notamment une installation de bouteilles de Bénédictine
habillées de soie blanche. « Bien sûr, je n’ai
aucune preuve. Mais ce qui est bien avec Duchamp, c’est qu’on
peut toujours tout réinterpréter. L’essentiel
n’est pas que cela soit vrai ». Frappée encore
une fois par les coïncidences, elle présente d’ailleurs
cette enquête à Maubuisson : de nouveau des jeunes femmes,
de nouveau une abbaye, « de nouveau du blanc, de la virginité
».
Au fil des ans, Anne Deguelle a ainsi appris à plonger dans
le passé pour le lire comme une constellation de sens et multiplie
les interventions dans ce domaine. Elle aime parcourir au présent
le destin de grandes figures de l’art, de Beuys à Duchamp,
« histoire de comprendre comment on refaçonne l’histoire
» – c’est ainsi que, de 1986 à 1996, elle
enregistre d’année en année le passage du temps
sur la nécrologie de Beuys arrachée à un Libération,
son jaunissement progressif –. Elle aime, surtout, travailler
au corps le lieu qui l’invite : nourrie d’in situ, elle
ne peut se détacher des réalités qui l’accueillent,
les occulter, les refuser. Au contraire elles infusent son travail,
elles lui donnent énergie, elles lui construisent un inconscient.
Poétique archéologie qui dit autant de nos temps présents
que de leur passé. Au château de Chamarande, où
elle était invitée en 2003 pour l’exposition Singuliers
voyages, elle fait resurgir la figure de l’un de ses propriétaires,
créateur du Bon Marché, Antoine Boucicaut. Fouillant
dans Zola et son Bonheur des Dames, mais cherchant aussi les résonances
contemporaines de ce passé, elle tente d’évoquer
« cette grande épopée bourgeoise, commerçante,
dont on vit aujourd’hui la queue de comète ». Quelques
mois plus tard, à l’occasion d’une commande publique
(à laquelle furent également présélectionnés
Philippe Ramette et Felice Varini), elle sort des écrits quasi-illisibles
des cartons des archives de l’Essonne : quelques mots de Cocteau,
mais aussi des actes du XVIIe siècle, sorte de contrats passés
avec les enfants pris en apprentissage. Ouvrant le lieu, au sens propre,
par une grande porte transparente, elle y fait graver sur le verre
ces écritures manuscrites qu’elle a découvertes.
Ni hasard ni coïncidence, l’artiste a utilisé un
processus similaire pour Maubuisson. Demandant pour l’exposition
à ouvrir le hall de l’abbaye, pour le rendre littéralement
« traversant » en en modifiant l’architecture, elle
y retrace le parcours RER qui la mène de Paris à Maubuisson.
Toujours cette histoire du passage d’un univers à l’autre,
toujours cette histoire de brèche, de palpitation, de respiration…
Car c’est bien ce double mouvement que l’on retrouve au
fil de ses installations de Maubuisson : inspiration, expiration.
Comment se nourrir du monde et de ses histoires, comment l’oublier
?
E tant données : 1, les ruines d’une ancienne abbaye
cistercienne bâtie au XIIIe siècle ; 2, un détail
important ; c’est à cette même époque que
le Purgatoire fut inventé. Nécessité pour l’Église
de renouveler ses protocoles post-mortem ? Désir d’un
brin d’espoir ? Réaction contre la dramatisation apocalyptique
? Adoucissement de la doctrine ? Peu importe. Lieu de l’entre-deux,
le Purgatoire est alors décrété, avant même
que le Concile de Trente ne renforce la présomption de son
existence au XVIe siècle. La coïncidence n’a pas
échappé à Anne Deguelle. Remontant jusqu’au
Moyen Âge pour comprendre le monument où elle est invitée,
elle découvre une abbaye destinée à recevoir
et héberger de jeunes femmes fortunées destinées
à prier, toute leur vie durant, pour aider les âmes enfermées
dans le Purgatoire à en sortir.
D’emblée séparées du monde, elles vivaient
sous la règle édictée par saint Benoît,
ensuite durcie à Cîteaux afin de mettre ses adeptes et
ces lieux définitivement hors de toute influence extérieure.
Jusqu’au système hydraulique, extrêmement sophistiqué,
tout a été pensé pour s’offrir l’autarcie,
éviter la maladie, faciliter l’hygiène parfaite,
l’alimentation. Bref, se couper du monde. Jusqu’à
aujourd’hui, constate l’artiste, le lieu demeure un «
îlot protégé de la modernité, coincé
entre trois voies SNCF ». Une abbaye comme une sorte de paradis
? Resterait l’enfer de la réalité ? « Mais
comment pouvaient-elles ainsi être en dehors du monde ? »
s’interroge l’artiste. C’est une étrangeté
complète : de quoi étaient faites ces existences, de
quoi se nourrissaient-elles ?
Cette question, Anne Deguelle la travaille au fil de toute l’exposition.
S’éloigner du monde, ou y demeurer ? S’en offrir
la tentative, pour aussitôt revenir à son impossibilité.
N’est-ce pas ce que dit tout simplement cet effet d’affolement
qui s’empare de la caméra, dilatation et rétraction,
quand elle tente de saisir l’éclipse solaire de 1999,
qui tantôt apparaît dans toute sa parfaite rondeur, tantôt
comme une simple tâche floue ? Comment demeurer, comme ce nénuphar
qu’elle filme en guise de Vanité, vierge et immaculé
– car, même plongée dans l’encre, cette fleur
garde sa blancheur intacte : insensible, protégée –
? C’est parce qu’il est impossible d’échapper
à la rumeur du monde que la pièce Au Mitan du lit, datant
de 1995 et radicalement modifiée en 2003 aux Abattoirs de Toulouse
dans l’exposition Les 20 ans des Fracs, est présentée
sous cette forme à Maubuisson. Au départ, une œuvre
très contemplative : comme un ciel tombé, un réseau
électrique d’étoiles, protégées
par un baldaquin translucide. Plus le visiteur s’approche, plus
la vision devient trouble et imprécise. Pièce éthérée,
évanescente, en référence à la Camera
dei sposi de Mantoue mais aussi, bien sûr, « aux astrophysiciens
qui disent que le réel ne peut être que voilé
: il échappe toujours » ; et, surtout, une chambre, c’est-à-dire
une camera – ce qui capte. Anne Deguelle y a donc placé,
comme une obligation intime, un moniteur diffusant des images du 11
septembre, filmées à même la télévision,
au ralenti. « On y voit le commentateur comme entre le sommeil
et le plaisir, c’est très étonnant, raconte-t-elle.
La pièce, dans son microcosme, était tellement indépendante,
j’avais envie d’y faire passer les captations des bruits
du monde. Tout comme dans les cloîtres, la rumeur du monde devait
bien finir par arriver ». « L’abbaye qui abrite
aujourd’hui l’exposition a d’ailleurs été
détruite à la Révolution Française »,
rappelle-t-elle, comme pour renforcer ses dires.
Il ne faut donc voir aucun hasard, ni aucune frivolité, dans
cette obsession que nourrit ici l’artiste pour l’eau et
le vent. Forces de transition et de réconciliation, appels
à la perméabilité, ils traversent le domaine
comme ils traversent ses œuvres, charriant tout ensemble les
humeurs de l’histoire et le désir de pureté, à
la fois objectifs et idéaux : comme une musique – là
encore, le titre de l’exposition, Abbey road, peut se lire davantage
que comme un jeu de mots –. L’eau ne parvient peut-être
pas à pénétrer le nénuphar. Certes. Mais
elle sait le noyer.
1-Informations fournies à l’artiste par Liliane Durand-Dessert.
Emmanuelle Lequeux
Eric Suchère,catalogue Déduction, CAC Rueil-Malmaison, artothèque de Caen / CAC Gennevilliers, 1997
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Texte de Jacques Roubaud,
déduction d'étoiles doubles, 1996
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entretiens
Emmanuelle Hamon responsable des expositions, Les Abattoirs Musée-Frac Occitanie, Toulouse, 2020
« Anne Deguelle, la fascination du détail »
Télécharger le texte
Entretien avec Anne Deguelle par Caroline
Coll-Seror, 2005
CCS : - Le titre de l’exposition que vous présentez à
l’abbaye de Maubuisson : Abbey Road renvoie bien entendu au
lieu lui-même mais aussi à la notion d’un cheminement…
AD : - Depuis que je crée des pièces – cela fait
une vingtaine d’années -, mes œuvres ont toujours
travaillé la question du lieu où elles sont présentées.
Le titre Abbey Road s’est imposé subitement à
moi et il faut le prendre dans sa littéralité.
Il fait aussi allusion à la pièce du même nom
présentée dans l’exposition, au cœur de l’abbaye.
Une quarantaine d’images restitue mes déplacements en
RER entre mon atelier parisien et cet autre atelier temporaire qu’est
l’abbaye. Ces images souvent contrastées, « collées
» les unes aux autres enregistrent les variations de l’espace
péri-urbain. Au-delà du Paris « carte postale
», elles mettent à plat l’évolution du paysage
urbain, ses hésitations, son va-et-vient entre urbanisme et
campagne. Elles enregistrent aussi le changement des saisons.
Cette notion de déplacement dans le temps - et pas seulement
dans l’espace - renvoie également à mon propre
cheminement. L’exposition présente des pièces
réalisées à dix années d’intervalle
et démontre cette obstination à prendre en compte une
interrogation sur les lieux d’exposition comme raccourci d’une
interrogation plus vaste sur les systèmes ou les mécanismes
de notre monde.
Abbey Road fait enfin référence à un album des
Beatles devenu classique qui désignait lui aussi un atelier
de travail : le studio d’enregistrement du même nom situé
au n° 3 de abbey road. Le cheminement vers l’abbaye est
aussi cheminement d’un atelier à l’autre…
CCS : - L’exposition se développe autour de trois thèmes
: l’eau, le ciel, le féminin. Qu’est-ce qui a motivé
ces choix ?
AD : - La forte présence de l’eau sur le site de l’abbaye
et l’effet de saisissement éprouvé lors de ma
première visite ont indéniablement infléchi ce
choix. L’eau conduit le visiteur dès son entrée
sur le domaine, elle l’accompagne sans relâche jusqu’à
l’abbaye en un cheminement visuel et sonore alternant apparition
et disparition jusqu’à s’engouffrer mystèrieusement
sous les murs du bâti. Mais je ne savais rien alors des nécessités
sophistiquées que cela impliquait…
Le ciel s’impose comme corollaire de l’eau et du cloître.
Il se reflète dans les miroirs d’eau, sa géométrie
dessine celle du carré du cloître qui, même s’il
n’est plus visible aujourd’hui, n’en finit pas de
nourrir notre préhension de ce passé. Le dialogue sous-jacent
entre microcosme et macrocosme n’est pas si éloigné
du questionnement contemporain des astrophysiciens autour de la mystèrieuse
masse manquante de l’univers.
La documentation disponible sur l’histoire du site révèle
qu’il s’agissait d’une abbaye de femmes. J’ai
découvert l’importance de cette représentation
féminine dans le monachisme. Le féminin agit comme une
présence obstinée dans ces lieux avec en pointillé
l’idée de quelque chose à sauver.
Il y a eu d’abord ces très jeunes femmes, issues de la
noblesse et apportant une dot conséquente qui s’engagent
dans cette vie de clôture jusqu’à leur mort. Que
venaient-elles y faire ? A une époque où apparaît
l’idée du purgatoire et où la notion de salut
revêt une grande importance, les moniales étaient des
intermédiaires, elles intervenaient comme médiateurs
pour les autres. Ces cinq siècles d’occupation féminine
et cistercienne sont placés sous le signe du sauvetage des
âmes.
Après quelques désordres, lorsque les femmes réapparaissent
à la fin du XIXème siècle, c’est encore
avec le souci de sauver…les restes de l’abbaye. Aujourd’hui,
les femmes encore animent ce lieu culturel, ce qui pose un nouveau
questionnement et l’idée d’une autre forme de sauvetage.
CCS : - Comment ces thèmes se relient-ils les uns aux autres
? Y a-t-il un dénominateur commun ?
AD : - La lumière comme élément physique et,
par effet de conséquence, spirituel, sert de fil conducteur.
Sans lumière, il n’y a ni couleur, ni peinture, ni monde.
Cette lumière blanche est tout à la fois le moyen de
notre connaissance et la condition de notre aveuglement. Car en réalité,
nous sommes dans un noir profond, le soleil ne nous éclaire
pas, il nous aveugle. Les éclipses sont intéressantes
à ce propos, c’est pourquoi l’une d’elle
ouvre l’exposition dans la grange aux dîmes.
Dans mon travail, il y a beaucoup de photographies et de projections
lumineuses. Ces médiums sont présents dans l’exposition,
ils agissent aussi comme métaphores de notre connaissance de
l’univers. Le fait d’arrêter les photons conditionne
l’apparition des images.
Installations, vidéos…, le blanc sera présent
tout le long du parcours. On peut aussi percevoir cette présence
comme une mise en boucle de la création de l’abbaye due
à … Blanche de Castille.
CCS : - Photographies, vidéos, environnements, projections
lumineuses, œuvres sonores… Comment comprendre la multiplicité
des pratiques auxquelles vous recourrez ? Champ de recherches sur
« l’image » ou moyens d’explorer les signes
du réel ?
AD : - Tout d’abord tous ces moyens sont à la disposition
de tous les artistes et bien d’autres sont à notre disposition,
ce ne sont que des médiums. Personnellement je ne me définis
ni comme photographe, ni comme vidéaste ou cinéaste,
Toutefois, comme nous venons de l’évoquer, j’ai
une prédilection pour tout ce qui touche la lumière,
projection et éléments lumineux, lampes, néon
etc. et la photographie dans sa forme traditionnelle est encore un
enregistrement de la trace des photons dans l’espace.
Il y a ensuite. un souci d’incorporer le spectateur au centre
du travail, par sa présence et ses déplacements dans
ou autour de l’œuvre. Nous ne sommes plus depuis longtemps
dans un rapport centré, frontal et idéal – l’œil
du Prince -, nous évoluons au contraire dans l’univers
de la fragmentation. Les installations permettent les déplacements
et une approche fragmentaire de l’œuvre. Il devient acceptable
de voir un moment de l’œuvre, sa vision ou son expérimentation
parcellaire ne sont pas forcément une trahison mais s’apparentent
au moment, et il y a beaucoup de moments possibles.
CCS : - Nombre d’œuvres présentées à
l’abbaye ne peuvent-elles à la fois être perçues
comme des témoignages – rendant compte d’un événement,
d’un vécu ou encore d’une réalité
sociale – et comme des images agissant poétiquement ?
Comment articulez-vous ces deux aspects ?
AD : - Ma démarche prend appui sur deux nécessités.
Le lieu qui intervient dans l’œuvre est d’abord lieu
commun. Je l’entends à la fois comme territoire partagé
et fondement d’un raisonnement. Dans la rhétorique du
XVIIIème siècle, le lieu commun est, dans un discours
complexe, l’articulation qui permet à tous de se retrouver.
Il s’agit donc de pointer ce qui est là, simplement de
l’éclairer et le seul fait de l’éclairer
induit une sorte de ré enchantement. Il s’agirait donc
d’une tentative de ré enchantement du monde. Ce ré
enchantement traverse les œuvres d’art, cela nous le savons
par expérimentation, mais il traverse aussi une parole ou un
témoignage dit plus « quotidien ». La poésie
n’est donc pas de mon fait, elle est présente en jachère.
Le travail de l’artiste n’est au mieux qu’un révélateur
intuitif. J’assemble des éléments épars
pour tenter d’en faire quelque chose de juste, notamment par
rapport au lieu d’exposition, et quelque chose qui existe en
soi.
CCS : - Quels rôles attribuez-vous à l’histoire
et à la mémoire dans cette approche des lieux ?
AD : - L’histoire est un moyen, un outil pour décrypter
mais elle est temporaire, sujette à variations suivant les
préoccupations successives des époques. On parle alors
de ré interprétation, de relecture. Il s’agit
en quelque sorte de refaire le cheminement à l’envers,
comprendre pourquoi telle version a été retenue plutôt
que telle autre.
La mémoire implique une idée plus collective et plus
poétique. Ce qui est encore plus troublant, ce sont les oublis,
les amnésies, le manque. La fabrique de la mémoire comprend
cet entrelacs des deux : il faut oublier pour mémoriser. Pour
citer Jacques Roubaud1 : « c’est l’image de l’hésitation
des étoiles à briller dans un ciel de mémoire
».
CCS : - Quel(s) rapport(s) cette mémoire entretient-elle avec
le présent ?
Un souci constant puisque c’est la mémoire qui crée
notre présent, qui l’engendre et le nourrit, réactivé
ou réactif. Le déchiffrage de notre présent encore
plus énigmatique que le passé, transite par la mémoire.
1. Jacques Roubaud, “Anne Deguelle. Déduction d’étoiles
doubles”, die Raüber des Strandguts / les pilleurs d’épaves.
Single Verlag, Berlin, 1998.
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bibliographie
2024
Marguerite Pilven, entretien, En roue libre avec Anne Deguelle et Walter Benjamin , autour de l’exposition L’arctique fantôme, Espace d’art L’AhAh#Moret, Paris (Lire le texte)
2023
Horizons olfactifs, catalogue, édition Fondation pour l’art contemporain 2022, Anne Deguelle, Portrait olfactif de M. Duchamp, p.36 et 37, et carnet d’exposition, reproduction p. 16
Henri Guette « Anne Deguelle, De l’Histoire de l’art aux Bains Douches », catalogue Aller voir et Laisser passer, centre d’art Jean-Collet, Vitry sur Seine, p. 26 avec reproduction
Annalisa Rimmaudo, « Anne Deguelle », notice
2022
L’ART PUBLIC CONTEMPORAIN, Toute une histoire, 1970-2020, Hervé-Armand Bechy, Edition art-public SARL; La Première phrase, Anne Deguelle, p.130-131
Mobilier National « 2021 une année en Images », Anne Deguelle Le Tapis de Sigmund, dentelle d’Alençon, 4 pages
2021
Centre d’art contemporain_MAGCP, Pom*Pompidou 41, Un même monde, AD « Paris/New-York », p.7
2020
Studio la Città, Album n°45-2020, La Musée 2, p15 à 17, photos Michele Alberto Sereni
Fomo-vox, Marie de La Fresnaye « Art Paris, Promesse tenue, coups de cœur et inmanquables »
Artaïs, « La Musée, une exposition à l’envers », Maya Sachw
AIUTIAMO GLI ARTISTI. Catalogue vente enchères en ligne, lot 62, 63 , Vente Martini, Brescia, Italie #ProtègeTonSoignant, catalogue vente en ligne, Piasa p.108
2019
Parcours des Arts, n°58, avril-juin, Louis Gracian, ‘Les
rituels de création’, A Deguelle, p. 24, reproduction
Afiac, Histoire-histoires, catalogue, Emmanuelle Hamon (Musée les Abattoirs) interview Anne Deguelle, p 48 à 57
Les Ateliers des Arques, 1988 – 2018, 2004 Cosmique Bled p. 105 à 110, éd. Un Autre Reg’art
Artpress.com, Actualités, expositions, Mathilde Bardou, « Histoire(s), des artistes chez l’habitant », 30.9
Cnap- allocation de recherche - lien
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Bras vif de Isabelle Garron, couverture Anne Deguelle, collection
Poésies, édition Flammarion, tirage de tête avec
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Picasso
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Freud on the couch : Psyche in the Book, catalogue, éd center
for book arts, New York, Minnesota center for book arts, San Francisco
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186 feuilles, catalogue, Collection de dessins et Photographies, éd.
galerie municipale Jean-Collet, Vitry-sur-Seine, p.79
Catalogue de la Collection du Frac Normandie Caen 2002-2014,
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2017
Joanne Morra, Inside the Freud Museums, History, Memory & Site-Responsive
Art, éd. I. B. Tauris, p.42 à 47, reproductions p. 44,
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Angeli & Artisti, uno stuolo di Angeli contemporanei ha scelto
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Être pierre, catalogue, édition Musée Zadkine
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Azad Asifovich Anne Deguelle ¿ Rétrospective, Galerie
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Le tapis de Sigmund, Anne Deguelle, catalogue bilingue, édition
Archibooks, textes de Yvan Poulain, Marc Bembekoff, Anne Deguelle
Semaine 44.11, Anne Deguelle Sigmund's rug, bilingue, éditions
Analogues, textes de Yvan Poulain, Anne Deguelle
Art press n°384, décembre, Mondovision, Anne Deguelle Freud
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2008
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Epreuves du Mystère, éd. Ereme, ouvrage collectif
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Cognée, Marc Couturier, Anne Deguelle, Sylvain Dubuisson,
Yazib Oulab, Emmanuel Saulnier, Raphaël Thierry, Arnulf
Rainer, Bill Viola, Simon Hantaï, Carole Benzaken
2007
Catherine Huber in Flashebdo,Deguelle,Roussel,Duchamp et les autres, p.6, 21novembre
Parcours #2, catalogue, Collection du Musée d'art contemporain
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Semaine 46.07, “Anne Deguelle R/R, Musée Calbet Grisolles”,
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Philippe Piguet, in l’Oeil, “carte blanche à Anne
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"Marelle", Nelly Colin, in Figaro-Lyon, 26 mai
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in Le Progrès, 24 avril
"La sensualité du signe", Nelly Colin, in Le Journal
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"Pin-Up", Claire Peillod, in Lyon-Poche, 24 avril
"Le praticable du château de Grignan", in La Tribune,
19 avril
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Le Dauphiné Libéré, 31 août
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31 août
1985
"Marcher sur les traces du bleu", Anne Simonet, in La Tribune,
28 mars
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TELEVISION :
2000
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La 5, émission “le journal de la création”
Anne Deguelle, projet de façade 2, 21 fèvrier
TPS, Canalsatellite, ,, ,, ,, 12 décembre
1998
La 5, émission “le journal de la création”
Anne Deguelle à Rueil , 31 mai
La 5, émission “le journal de la création”
Anne Deguelle, peinture sous verre, 14 juin
La 5, émission “le journal
de la création” Anne Deguelle, projet de façade
1, 13 décembre
1993
TV5 émission “Vision 5”, Anne Deguelle,exposition
à Montréal
RADIO :
2017
France-culture, Histoires de fils 2/2, Dentellières de la mémoire, 10 décembre, évocation du Tapis de Freud, rediffusion le 23 mai 2021
Ecouter ici
2008
France-culture, Surpris par la nuit, rediffusion de "Alliances",
interview 2002, 28 octobre
2007
France-culture, “surpris par la nuit”, Au coeur du mystère...,
25 avril
2006
France-inter, “Noctiluque”, anne Deguelle, le portrait
rêvé”, 13 fèvrier
2002
France-culture, “surpris par la nuit”, Alliances, 16 octobre
1999
Exposition Demeures au Musée Zadkine, Radio Alligre, Paris,
17 aôut
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Rencontres / conférences
2024
La Tangente, les jeudi du MO.CO, auditorium, MO.CO Panacée, Montpellier
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2020
Galerie Italienne Paris, « Archéologies multiples », talk dans le cadre de l’exposition La Musée, commissaire Azad Asifovich
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2014
École du Louvre, Paris, Parole aux artistes contemporains :
« autour de Marcel Duchamp »
2012
Les rencontres d'Artaïs, Paris, rencontre avec Anne Deguelle
Le tapis de Sigmund dans le cadre des Rencontres des Gobelins
Le textile et le genre, Mobilier national
2010
Oeuvres contemporaines, Patrimoine et filiations historiques, ENSA
Ecole nationale supèrieure d'art de Limoges-Aubusson |
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collections
MUSEES, FONDS, FRAC
Musée national d’art moderne, Centre Pompidou, 2023 (3 œuvres)
Bibliothèque Kandinsky, Musée national d'art moderne, Centre Pompidou, acquisitions 2022, 2017, 2015, 2008
Fonds Anne Deguelle, Musée d’art moderne Weserburg - Centre de publications d’artistes, Brême, Allemagne, 2017, 2014, 2010, 2003
Musée Reina Sofia Madrid, collection livres d’artistes, 2017
Musée d'art contemporain de Barcelone, MACBA, Centro documentacio, 2009
Musée Serralves Porto, collection livres d’artistes, 2017
Musée Centre de la Gravure et de l’Image imprimée, La Louvière, Belgique, 1998
Yale University, Bibliothèque Beinecke des livres rares, Connecticut, USA, 2011
Fonds national d'art contemporain-CNAP, 1989, 1997, 1999, 2001, 2010
Fonds d'art contemporain - Paris Collections, 1991, 1993
Musée Les Abattoirs – FRAC Occitanie Toulouse, 2017, 2004
Bibliothèque Les Abattoirs, Musée – Frac Occitanie Toulouse, 2023
FRAC Auvergne, 1996
FRAC Basse-Normandie, 1998, 2003, 2015
Musée Zadkine, Paris, 2005
Musée d’art moderne et contemporain, Saint-Etienne, 2023
MacVal - Fonds municipal d'art graphique et photographique Vitry-sur-Seine, 2001
Mobilier national, 2011
BNF, Bibliothèque nationale de France, 2010
Centre des Livres d’artistes CLDA, Saint-Yrieix-La-Perche, 2017
Musée de Valence, 1993
ARTOTHEQUES, centres départementaux et municipaux
Artothèque du Lot, 2014
Artothèque du Limousin, 2001
Artothèque de Caen, 1995
Artothèque de Saint-Priest, 1995
Artothèque de Valence,
Artothèque de Villefranche-sur-Saône
Artothèque d'Annecy, 2002
Archives de l'Essonne, 2003
Musée départemental du Textile du Tarn, 2011
Fonds d’art de la ville de Castres, 1991
Centre d'art contemporain de Saint-Priest, 1995
Fonds municipal de Gennevilliers, 2000
Musée du Verre de Carmaux, 2016
Fonds d’art contemporain, Nanterre, 2016
Conservation départementale de la Drôme
Collection d'art contemporain,Ville d'Annonay
Collection d'art contemporain,Ville de Portes-les-Valence
Crédit Local de France, Paris
BIBLIOTHEQUES
Bibliothèque de Clermont-Ferrand, de Lyon, de Montélimar, Bibliothèque d'Oullins, Bibliothèque municipale de Grenoble |
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residences
2019
Des artistes chez l’habitant, AFIAC, Occitanie
2015
Résidence Open Glass, Musée du verre, Carmaux, Midi-Pyrénées
2014
Ecriture, Lycée Beauregard, Villefranche-de-Rouergue, Atelier
Blanc
2011
Écritures de Lumière, Lycée Savignac, Villefranche-de-Rouergue,
Atelier Blanc
2005
Palerme, Centre culturel français de Palerme et de Sicile
2004
Atelier des Arques, Lot, Midi-Pyrènées, commissaire
Noëlle Chabert
2000
Fécamp, résidence à la Villa Vincelli, Drac Haute-Normandie
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liens
https://www.ddaoccitanie.org/fr/artistes/anne-deguelle/oeuvres
www.ateliersdesarques.com
http://www.caisseepargne-art-contemporain.fr
www.weserburg.de
http://www.weserburg.de/index.php?id=192&L=1&year=2004
http://www.weserburg.de/index.php?id=207&L=1
bibliothequekandinsky.centrepompidou.fr
www.lesabattoirs.org
http://www.culture.gouv.fr/culture/dap/unpourcent/exemples/iledefrance/deguelle.htm
http://www.lemurdanslemiroir.fr/deguelle.php
http://www.espacecarteblanche.com
http://
www.artcontemporain-mp.net/artistes/deguelle
http://www.bookstorming.com/objets-multiples
http://www.vademecum-mp.net
Centre de
photographie de Lectoure
www.galeriedix9.com
www.photographie.com
, une interview de Anne Deguelle a l'occasion de l'exposition
Grand Hôtel et Des Palmesà la Galerie Dix9
http://rodin-freud.fmsh-devar.fr/prolongations/anne-deguelle-artiste.html
: entretien vidéo au Musée Rodin, 2009
http://www.cnap.fr/anne-deguelle-2
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